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En 2012, Cecilia Bartoli nous a fait découvrir un compositeur italien oublié, Agostino Steffani. Enthousiasmée par la musique de ce personnage fascinant, elle a donc décidé de poursuivre sa mission en enregistrant un joyau oublié et quasiment inconnu du compositeur italien, son émouvant Stabat Mater.

C'est le grand chef-d'oeuvre de la musique symphonique russe du XIXe siècle, incontournable à toute discothèque classique digne de ce nom. A quelques 250 kilomètres de l'Opéra de Perm, en Sibérie, où Teodor Currentzis est directeur, se trouve la ville natale de Tchaïkovsky, Votkinsk. Le chef est lui aussi un grand admirateur du musicien russe et dirige régulièrement sa musique avec grand succès un peu partout en Europe. On retrouve donc, après le Concerto pour violon du même auteur qu'il a publié il y a un an avec Patrizia Kopatchinskaja en soliste, le grand chef grec Teodor Currentzis. Son dernier concert, à la Basilique Saint-Denis, dans le cadre du Festival de Saint-Denis (Bach Bério) a reçu un immense succès.

Pour son cinquième opus chez Decca, le ténor Allemand Jonas Kaufmann revient à son répertoire de prédilection, à la fois dans le coeur du public mais aussi auprès des critiques. Il renoue ici avec son patrimoine musical pour un hommage très personnel à Wagner. On retrouve sur cet album les plus beaux airs d'opéra du maître Allemand, de La Walkyrie aux Maîtres chanteurs de Nuremberg en passant par Siegfried, Tannhäuser et lincontournable Lohengrin. Il interprète également les célèbres Wesendock Lieder de Wagner, très rarement enregistrés par les ténors.